The Walk

The WALK, Walking Art Linking Knowledge,(art de la déambulation, dans l'espace urbain contemporain), est un monde fait de banalité, presque permanent, ou évolu des avatars, d'une simplissité absolus et avec le moins d'interaction possibles. Rien ne se vie dans The Walk, tout se passe, mais d'une lenteur extreme.

The WALK, est une approche esthétique et poétique du détournement (hi-jacking, hacking, ...), se veut du coté poétique et esthétique en se réfèrant aux dadaïstes, surréalistes, situationnistes, banalistes et actionnistes viennois...

The Walk est créer et maintenu par moi même, Maurice, sur des idées et écrit d'un grand personnage erudit, Monsieur X, qui restera à jamais annonyme.

précition de Mr X sur The Walk!

Parmi les noms qui me viennent immédiatement à l'esprit : André Breton (L'amour fou, Nadja), Baudelaire (Petiits poèmes en prose), Walter Benjamin (Paris Capitale du XIXème siècle), Louis Aragon (Le paysan de Paris), Villon, Guy Debord (Commentaires sur la Société du Spectacle), le Traité de la banalité (dont je ne retrouve plus l'auteur), les philosophes Georges Didi Huberman (notamment ses réflexions sur l'art du montage, l'image), Gilles Deleuze (L'image-temps, Logiques du sens), Giorgio Agamben (Qu'est-ce qu'un dispositif ?, L'ouvert), Jérémy Rifkin (L'age de l'accès), Jean Baudrillard (Le système des objets, La société de consommation, Les stratégies fatales, Le Pacte de lucidité, ...), Paul Virilio (L'art du moteur), Michel Foucault (Les mots et les choses, article « Hétérotopies »), Bernard Stiegler (son site ars industrialis) et pas mal d'anthropologues (Mauss, Clifford, Augé, Amselle, Goffman), l'école de sociologie urbaine de Chicago et le Wochen Klausur viennois...sans oublier les traités d'art de la mémoire de l'Antiquité gréco-latine...

Il existe déjà une forme esthétique du WALK, intitulée de même, et qui prend son essor dans le mouvement de la performance dans les années 70. Il s'agit de déambulations poétiques, utilisant le son comme principal média, avec déjà cette idée de pouvoir guider poétiquement un public individualisé par l'isolation du casque. C'est en quelque sorte la rencontre d'une poésie méditative urbaine avec la visite guidée et le walk-man. Ce que j'ai pu voir s'apparente généralement à ce modèle qui se décline ensuite entre les pôles du théâtre de rue, de l'art contemporain, de la performance et de la poésie littéraire.

Du coté technologique, il faudrait aller revisiter les pères fondateurs de la cybernétique (Wiener), du multimédia (Lévy), de la cartographie fractale (Mandelbrot)…Ne pas oublier les sémioticiens, les comportementalistes, la psychologie sociale, le webmarketing, les propagandistes (des anti-références fécondes)...

Le Walk maintient cette ambiguïté, et tout en alternant parfois les moments de pure banalité réelle et de fiction spectaculaire, il tend idéalement vers une indécidablité, une indécelabilité, et une forme de clandestinité.

logo de The Walk, le monde presque permanent